Comment évaluer les droits du salarié à DIF en cas de licenciement ?

Article | Note de Synthèse
| 03/2007
 
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Infodoc-Experts
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91224
Résumé
La loi du 4 mai 2004 a créé le droit individuel à formation (DIF) de 20 heures de formation par an (pour un salarié à temps plein), utilisable à l'initiative du salarié. L'article L. 933-6 du Code du travail organise une transférabilité de ce droit en cas de licenciement du salarié, à certaines conditions. Il s'agit de savoir comment s'évaluent les droits du salarié à la date de la rupture.
Cette note de synthèse fait le point de façon concrète sur les droits à DIF d'un salarié ayant été licencié ainsi que ses modalités de mise en œuvre.


Sommaire :
1- Le principe de la transférabilité du DIF
2- Une application particulière de la transférabilité : le licenciement pour inaptitude
2.1.1- L'information du salarié
2.1.2- L'inaptitude d'origine non professionnelle
2.1.3- L'inaptitude d'origine professionnelle
3- Le formalisme de la demande
3.1- Le refus de l'action au titre du DIF
3.2- Le délai de prévenance
4- L'évaluation des droits du salarié
4.1- L'évaluation au prorata ?
4.2- La date d'évaluation
4.3- Les incidences de la suspension du contrat du travail
5- La valorisation du droit
5.1- Le versement de l'allocation de formation
5.2- La réalisation de l'action de formation

Mots clés
LICENCIEMENT | SALARIE | DROIT INDIVIDUEL A LA FORMATION | RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL
Voir aussi
Loi n° 2004-391 du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle tout au long de la vie et au dialogue social
Pub. Officielle | Loi
JORF Lois & Décrets | 05/05/2004

 
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